Erasmus+ Feedback

Erasmus + 2020-2021

« J’a ai eu la chance d’effectuer un échange de 5 mois au Conservatoire Supérieur du Pays Basque « Musikene » en Espagne. J’ai pu profiter d’un enseignement très complet dans la classe de harpe avec notamment des cours spécifiques pour le répertoire orchestral, la transcription et la harpe ancienne.

Malgré la situation pandémique avec le Covid19, la vie culturelle restait active et j’ai moi même pu prendre part à des projets au sein de l’école. J’ai également fait des rencontres inspirantes, découvert la culture de cette partie de l’Espagne et profité de ces paysages magnifiques. L’ensemble m’a permis de bénéficier d’une expérience inoubliable ! »

Louise Meyer, étudiante en harpe, séjour à San Sebastian (Espagne)

« Mon professeur de chant, très à l’écoute de ses élèves, m’a aidé à recentrer mes objectifs, à construire une technique vocale plus solide et à m’épanouir davantage. Grâce à mon cours de théâtre, j’ai rencontré des personnes extraordinaires qui sont devenus des amis. Le projet d’opéra « Giulio Cesare » m’a permis de découvrir un rôle qui convient à ma voix et ma personnalité. »

Lucien Flandre, étudiant en chant, séjour à Fontys (Pays-Bas)

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« Mon année Erasmus a été une merveilleuse expérience ! J’ai rencontré beaucoup de magnifiques personnes et découvert une ville merveilleuse. J’ai appris le français et j’ai suivi d’excellents cours, ce qui m’a beaucoup aidé à m’épanouir.  Au Conservatoire royal de Liège, j’ai eu la liberté de développer ma créativité et j’ai reçu beaucoup de soutien; tout le monde était très chaleureux avec moi et je me sentais très à l’aise. Malgré l’interruption des cours en présentiel à cause du Covid, j’ai passé un très bon séjour. Je suis très reconnaissante d’avoir vécu cette expérience !

Charlotte Kaiser, étudiante en mandoline, accueillie au Conservatoire royal de Liège

« Ce séjour d’une durée de 4 mois et demi à Palma m’a permis de me perfectionner avec un musicien et soliste de niveau international. Mon expérience fut enrichissante sur beaucoup d’aspects ( apprentissage d’une nouvelle langue, découverte dune autre culture, rencontres diverses, dynamisme artistique, etc.). »

Alexandre Kerloc’h, étudiant en tuba, séjour à Palma de Majorque (Espagne)

« Ce workshop d’une durée de 10 jours m’a permis de découvrir de manière intensive, par la pratique en collectif (échauffements communs et exercices dans lesquels le groupe est porteur de l’individu et inversement) et individuelle (principalement des séances avec un pédagogue durant lesquelles l’étudiant est guidé, accompagné au piano, dans son exploration), trois approches différentes et relativement nouvelles du travail vocal, tout en menant une réflexion autour des points de convergence et de divergence entre celles-ci.

A partir de leur origine, leur objectif, et leur philosophie, nous avons pu questionner leur possible complémentarité pour une pratique et une pédagogie du travail vocal à destination de l’acteur.ice/chanteur.euse:

Un ensemble d’outils précieux pour développer tout à la fois la connaissance de soi, son imaginaire, sa palette vocale et émotionnelle, sa capacité à improviser et à faire des choix pour l’interprétation d’un texte ou d’un chant. »

Audric Chapuis, enseignant à l’Esact, séjour à Maléargues (France)

 » Le stage avec la Compagnie Ex Nihilo s’est déroulé toute la journée en extérieur. La ville est bruyante, les matériaux sont durs, le regard des passants est toujours présent, il y a aussi un rapport à la saleté. Ce stage a demandé beaucoup à mon corps et à mes articulations : je devais gérer la « représentation constante » ainsi que le rapport sensible de mon corps à l’environnement urbain. Je vois désormais de grandes différences entre une création d’une forme artistique en salle pour aller par après en rue, et la création en extérieur d’une forme qui se jouera en extérieur. Il y a tout une série d’apprentissages au contact de la rue : les matériaux, mais aussi le rapport aux passants, j’ai remarqué qu’au moindre froncement de sourcils d’un passant, ou interpellation de la part de personnes alcoolisées, les intervenants allaient toujours parler, ils n’ignoraient pas les ‘ scories’ , et ne cherchaient pas à construire une bulle de protection autour de nous ( telle qu’on peut l’avoir en salle ou en studio). Je sentais que c’était vraiment lié à l’expérience qu’ils ont eu pendant 27 ans de danse en rue.

Je retiens le rapport à la matière qui donne une manière particulière de bouger. Nous avons testé plusieurs mobiliers urbains : bancs, rampes, escaliers, grosses marches, murs. Je retiens le rapport à l’espace, les lignes peuvent être très éloignées, comment être visible de loin, quelle est la mesure juste de mon mouvement pour le cadre de ville que j’ai choisi ? Quelle est la place du spectateur, et comment je l’invite à bouger ? Je retiens les échauffements du matin, sur les spirales, et le rapport aux directions N.S.E.O. dans un environnement à ciel ouvert, moins classique et plus complexe qu’une salle rectangle. »

Sarah Guilleux, enseignante à l’Esact, séjour à Marseille (France)

« Je me suis très bien adaptée à ce nouvel environnement et j’ai beaucoup progressé sur le plan technique. Toutes les expériences que j’ai pu vivre, notamment dans les projets de musique de chambre, m’ont beaucoup stimulé. Ce séjour Erasmus + m’a donné envie de poursuivre ma scolarité au au Conservatoire royal de Liège. »

Veronica Gnola, étudiante en flûte accueillie au Conservatoire royal de Liège